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Des vies « sans défaite ni combat », dans tout ce que l’ordinaire peut offrir de merveilleux pour celui qui sait observer, ressentir et dire le moindre souffle, la plus infime palpitation. Nicolas Kurtovitch compose ici l’un de ses recueils les plus personnels où souvenirs, contes et réflexions poétiques s’entremêlent. Tisserand, il noue un à un les fils des mémoires et des instants vécus ou imaginaires pour nous dire l’importance d’être au monde en pleine conscience, de transmettre, de célébrer le pouvoir de la littérature et de l’humanité
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Des vies « sans défaite ni combat », dans tout ce que l’ordinaire peut offrir de merveilleux.
« Une histoire si ancienne, longue et complexe, qu’il s’y trouvera une page qui soit ma vie. Tout comme celle d’autres femmes [et d’autres hommes] semblables à moi. »
Immersion dans un enchevêtrement subtil de textes profonds et de récits délicats, fruits d’une observation minutieuse et contemplative de la nature humaine, où Nicolas Kurtovitch rend hommage au Château Hagen, à l’Histoire de Nouméa et à sa population éclectique, composée de tant d’individus singuliers qui la rendent aujourd’hui encore si vivante, vibrante et insaisissable, en perpétuelle évolution. Filles et fils de la tribu, enfants d’immigrés, des petites gens simples dont la vie a connu des hauts et des bas : tous, des enfants métis du Caillou, pouls de sa culture, réceptacles de tant de mémoires perdues et oubliées, où les blessures des uns sont devenues les douleurs des autres. Éternels nostalgiques des souvenirs d’enfance, mélancoliques d’un passé révolu, apeurés (ou parfois, rassurés) par l’approche d’une mort indéniable, ces héros du quotidien s’accrochent à des récits émouvants et aux souvenirs qui les hantent, quand ce n’est pas eux qui hantent leurs souvenirs et se perdent dans leurs pensées en hommage aux bons moments de jadis… Car toutes ces saynètes du quotidien deviennent les sanctuaires de leurs protagonistes.
Un recueil où l’amitié est le point de convergence : lui rendre sa noblesse et souligner sa valeur est une démarche primordiale. Non seulement en ce moment précis de l’histoire calédonienne, mais aussi au regard de l’histoire universelle de l’humanité, plongée dans un brouillard d’incertitudes et de doutes majeurs face à son avenir. L’amitié pour comprendre l’autre et ensemble, construire l’espoir grâce à la confiance qui naît de la compréhension mutuelle…
Pays d'origine : | Nouvelle-Calédonie |
---|---|
Edition : | Première Édition |
Année de parution : | 2019 |
Nombre de pages : | 225 |
Type de couverture : | souple avec rabats |
Finition : | Relié cousu |
Dimensions | 1297 × 210 mm |
KURTOVITCH Nicolas
Nicolas Kurtovitch est né en 1955 à Nouméa. Sa famille maternelle est installée en Nouvelle-Calédonie depuis 1843. Son père est lui un migrant yougoslave, qui a quitté Sarajevo en 1945 et est reparti assez vite vers l’Europe. Poète dès 1973 avec la publication de Sloboda, Nicolas Kurtovitch va au fil des années s’essayer également à tous les autres genres : nouvelles, essai, théâtre et roman. C’est qu’il témoigne avant tout d’un refus profond, vital, de tout ce qui, peu ou prou, enferme, réduit, et même définit, au sens où la définition vise à fixer, arrêter, limiter. Il est en outre l’une des premières voix calédoniennes d’origine européenne à s’être explicitement interrogée sur la nature de la relation entre les communautés en présence sur sa terre natale, et à avoir posé sans ambiguïté la reconnaissance de la primauté du peuple premier comme condition du vivre-ensemble. Écrivain de la main tendue, il a co-écrit plusieurs ouvrages avec des auteurs kanak : le recueil de poèmes, Dire le vrai avec Déwé Gorodé en 1999 ou encore une pièce de théâtre, Les Dieux sont borgnes, avec Pierre Gope en 2002.
Reconnu, Nicolas Kurtovitch est régulièrement invité à des résidences d’écriture tant en métropole que dans le Pacifique. Dernièrement c’est à Shangaï que le poète a été convié parmi d’autres écrivains de renom. Par le voyage et les rencontres, il poursuit, la plume à la main, son exploration du monde et de la mémoire sans pour autant se départir de sa volonté d’habiter le présent.
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