
Drôle d’oiseau
18 juin 2025
Terre rouge
7 octobre 2025L’arbre de l’homme
3 200 XPF
Réflexion bouleversante sur l’humaine condition, l’ordinaire beauté d’une vie, les tourments de l’amour, l’impuissance de l’homme à dompter vraiment la nature, l’arbre de l’homme est assurément le chef-d’œuvre d’un des plus grands écrivains de langue anglaise du XXe siècle, inexplicablement inédit dans notre langue. Quel enchantement, de phrase en phrase… La sensation, physique, de fouler la terre poussiéreuse d’un recoin de bush australien, de sentir l’étouffante moiteur d’un orage, d’entendre craquer la terre assoiffée ; l’instant d’après, un flux de conscience délicat, digne du meilleur Faulkner, vous plonge dans les pensées d’une femme qui se languit sans savoir de quoi au juste ; le symbolisme puissant de la prose whitienne confère à chaque geste, chaque souffle de vent, chaque mot, l’ampleur d’une prophétie antique.
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Australie, à la veille de la Première Guerre mondiale. Le jeune Stan Parker s’installe au milieu de nulle part, sur un lopin de terre aride dont il a hérité. Il rencontre Amy dans un bal à la ville, l’épouse et l’emmène avec lui, ensemble ils auront deux enfants, puis des petits-enfants ; des voisins viendront peupler ce bout du monde, une communauté se créera, unie face aux grands feux de brousse, aux inondations, aux drames familiaux. Bouleversante méditation sur l’humaine condition, l’ordinaire beauté d’une vie, notre impuissance à dompter la nature, L’arbre de l’homme est le chef-d’oeuvre d’un des plus grands écrivains du XXe siècle. Publié en 1955, ce roman, dont la seule intrigue est « celle de vivre et de mourir », demeurait inexplicablement inédit en français. Quel enchantement, de phrase en phrase… La sensation, physique, de fouler la terre poussiéreuse d’un recoin de bush australien, de sentir l’étouffante moiteur d’un orage, d’entendre craquer la terre assoiffée ; l’instant d’après, un flux de conscience délicat, digne du meilleur Faulkner, vous plonge dans les pensées d’une femme qui se languit sans savoir de quoi au juste ; le symbolisme puissant de la prose whitienne confère àchaque geste, chaque souffle de vent, chaque mot, l’ampleur d’une prophétie antique.
Un texte contemplatif qui laisse à la plume de Patrick White toute l’ampleur dont elle a besoin pour se déployer tandis qu’il cherche à « découvrir l’extraordinaire derrière l’ordinaire »
| Pays d'origine : | Australie |
|---|---|
| Edition : | Première Édition |
| Année de parution : | 2025 |
| Nombre de pages : | 576 |
| Type de couverture : | souple avec rabats |
| Finition : | Dos carré collé |
| Poids | 650 g |
| Dimensions | 48 × 130 × 210 mm |
WHITE Patrick
L’oeuvre foisonnante et éminemment originale de Patrick White (1912-1990) lui a valu de devenir en 1973 le premier écrivain australien et océanien lauréat du prix Nobel de littérature — et le seul à ce jour. De par leur ampleur narrative, la puissance de leur prose et la profondeur des réflexions existentielles qui les nourrissent, les récits de White ont une portée absolument universelle, tout en restant enracinés dans un continent, l’Australie, dont l’âpreté des paysages, les heurts de l’histoire coloniale et la langue si particulière, enrichie de mille influences, façonnent cet univers littéraire à nul autre pareil et ses inoubliables personnages. Toute son oeuvre a été publiée chez Gallimard, à l’exception de ce titre, inédit en France.
FAUQUEMBERG David
Né en 1973, David Fauquemberg est romancier, traducteur et reporter. Son premier roman Nullarbor, inspiré d’un long voyage dans l’ouest australien, obtient en 2007 le prix Nicolas Bouvier au festival Étonnants Voyageurs de Saint-Malo. En 2009, Mal tiempo, dont l’intrigue se déroule dans le milieu de la boxe, entre Cuba et l’île de Trinidad, est couronné du Prix de la Ville de Caen, du Prix des hebdos en région et du Prix Millepages. Fruit d’une longue immersion dans le milieu des gitans flamencos d’Andalousie, Manuel El Negro paraît en 2013.
Traducteur de l’anglais et de l’espagnol, David Fauquemberg a notamment traduit le prix Nobel sud-africain Nadine Gordimer, R. L. Stevenson, James Meek, Luis Sepúlveda. Il est également l’auteur de longs récits pour les revues XXI, Long Cours, Desports et les magazines Holiday et Géo. Bluff, son quatrième roman, est né de plusieurs années de voyage en Polynésie française et dans tout le Pacifique Sud, notamment en Nouvelle-Zélande où il a passé six mois en 2015, en tant que lauréat de la résidence du Randell Cottage. Bluff a obtenu le prix Henri-Queffélec et le prix Gens de mer 2018.
Presse
TOP 20 TELERAMA des MEILLEURS ROMANS ET RECITS 2025 !
“Cette saga saisissante met une famille du bush aux prises avec une série de cataclysmes, pluies diluviennes, incendies à grande échelle, matérialisme vorace, qui laisse chaque individu dans un état de sidération proche de celui que nous vivons aujourd’hui… Parue il y a soixante-dix ans, une œuvre majeure et visionnaire de l’auteur australien, lauréat en 1973 du prix Nobel de littérature, étrangement oublié depuis ». Marine Landrot
Les Mondes de Zulma – Coup de coeur d’Hélène
« L‘Arbre de l’homme n‘est pas un simple récit de pionniers : c’est une expérience de lecture sensorielle et métaphysique ».
Sélection Noël 2025 – Librairie Quai des brumes à Strasbourg (Réseau Initiales)
« Un roman aux descriptions puissantes laissant tout de même de la place à une magnifique sensibilité. Quel plaisir de lecture !!! »
Ici Paris – correspondant à Paris – Oscar Caballero
« Novela de 1955 de autor Nobel en 1973, pero ¡primera traducción en francés en 2025! »
Le Figaro – 20 novembre 2025 – par Christophe Mercier
« Un grand roman d’un prix Nobel oublié »
Le Matricule des anges – Chronique traduction – David Fauquemberg – novembre-décembre 2025
« À chaque mot de ce texte vibrant, d’une force d’évocation et d’émotion époustouflante, White guette « l’extraordinaire derrière l’ordinaire » …/… « Ces mois passés en compagnie de White et des Parker, au plus près du « noyau secret », resteront, j’en suis sûr, le voyage le plus fort de ma carrière de traducteur. »
Libération – Thomas Stélandre – 8 et 9 novembre
« Il est des livres dont on revient comme d’un long voyage, un peu groggy, quasi jetlagué, mais tout plein d’images, de sensations, de souvenirs – de panoramas devenus familiers, de personnages devenus proches. »
L’écho (BE) – Sophie Creuz – 5.11.25
« Éblouissant. « L’arbre de l’homme », ce roman de 1955, nous offre – grâce à l’admirable traduction de David Fauquemberg – ce que la littérature a de meilleur, qui saisit la réalité par la grâce, lui restituant sa poésie et son mystère. »
Télérama – Marine Landrot -22.10.25
« Comment expliquer l’éclipse d’un écrivain de cette envergure, lauréat en 1973 du prix Nobel de littérature ? Comment comprendre qu’une telle écriture, qui tatoue la mémoire de détails émotionnels, visuels, divinateurs, ait été soustraite à nos regards pendant tant de décennies ? Par bonheur, Au vent des îles, maison d’édition de Tahiti consacrée aux écrits d’Océanie, vient réparer l’oubli. »
Mare Nostrum – La Reco de Mare Nostrum dans Made in Perpignan – Maïté Torres
« L’arbre de l’homme », un poème de toute la vie.
« Solitaire, souvent acerbe envers la vie littéraire et la politique australiennes, White demeure pourtant la grande conscience romanesque de son pays, dont L’Arbre de l’homme constitue l’une des pierres angulaires. »
Marianne – Hubert Prolongeau – 24.10.25
« Ce roman, inédit jusqu’alors en français, du lauréat du prix Nobel de littérature 1973, est un chef-d’œuvre dont on s’étonne qu’il ait attendu soixante-dix ans pour être traduit. »
Unidivers – Marie-Anne Sburlino – 30 septembre
« Avec une prose symbolique et saisissante, Patrick White livre une méditation puissante sur la condition humaine, le lien à la terre, et la beauté fragile de l’existence. Un roman profondément émouvant, à (re)découvrir absolument. »
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